14/06/2001
Le festival commence par le retrait des billets, sur la place des anges, devant le musée d’art contemporain de Barcelone (MACBA). Les personnes présentes a cette heure avancée (midi) et qui supportent l’attente en plein soleil ont deux dénominateurs communs :
_ - venir de loin (France, Grande-Bretagne, Canada...)
_ - être intéressées par la programmation diurne du festival.
A l’inverse, les locaux sont plus attires par la dimension festive du festival, et ne se manifesteront que plus tard, a l’occasion du "sonar de noche".
12h30, on pénètre dans l’enceinte du Centre de Culture Contemporaine de Barcelone (CCCB), et on file vers le SonarLab pour rater le moins possible du premier concert : Florian Hecker. (>>> Lire la chronique)
Nous faisons ensuite un tour du site : une grande scène devant une pelouse synthétique (SonarVillage), le hall du CCCB qui accueillera Terry Riley ce soir (enfin un endroit frais) et les diverses activités qui font que Sonar est sous-titre "festival de musiques avancées et d’arts multimédias" : une exposition (Sonarmatica), une foire discographique (qui accueille surtout des labels espagnols) et le SonarCinema, ou nous entrons. (>>> Lire la chronique)
17h, retour dans le hall du CCCB pour la performance des californiens de Ultra-Red (>>> Lire la Chronique)
On sort ensuite en se dépêchant du CCCB pour rejoindre la Chapelle des Anges qui ouvrent ses portes a 18h pour le showcase Mille Plateaux. (>>> Lire la Chronique)
Le site nocturne de Sonar se trouve dans une zone commerciale hors de Barcelone. Pour s’y rendre les organisateurs ont affrétés des navettes qui partent bondées. Au bout du voyage, a nouveau des files d’attente, et tout ça pour pénétrer dans un immense hangar a l’ambiance de discothèque. Notre impression est assez négative. Nous nous dirigeons vers l’un des hangars baptise SonarPark ou va jouer Sonic Youth. (>>> Lire la Chronique)
La nuit se prolongera avec les concerts de Sigur Ros (>>> Lire la Chronique), puis Plaid (>>> Lire la Chronique).
le 25/06/2001